-111- Who can it be now?

486 20 17
                                    


Le Professeur nous avait guider entre les rues bonder de monde jusqu'à un immeuble complétement délabré, Raquel serrez sa fille contre elle comme si elle avait peur que quelqu'un ne surgisse de n'importe ou, après tout je pouvez la comprendre.

''Bon...ce n'est pas vraiment une maison paradisiaque mais dès demain nous partons sur une autre île'' Nous expliqua le prof

''Je ne pense pas que je viendrais prof'' Dis-je entrant dans l'immeuble

''On en parlera demain Pripiat si sa ne te dérange pas''

Je lui répondit par une hochement de tête, le prof nous fit une rapide visite de ce lieu, mais je n'avais qu'une envie, me retrouver seule dans ma chambre et réfléchir.
Sergio installa Raquel dans leur appartement et m'emmena jusqu'au miens, la porte était casser et grincer fortement.

''Ce n'est pas vraiment parfait'' Dit-il ne sachant pas vraiment quoi me répondre

''J'ai connue pire'' Dis-je en entrant dans le petit appartement

''Ça va aller Pripiat?'' Me demanda le prof sur un ton angoissée

J'hocha simplement la tête en regardant ailleurs, non sa n'irait pas, sa n'irait plus jamais je venez tout juste de perdre ma seule raison de vivre, la seule, l'argent n'était qu'un luxe qui ne m'intéresser plus, plus rien ne m'intéresser.
Le professeur se pinça les lèvres avant de sortir de la chambre en refermant délicatement la porte, me voilà seule, seule à jamais.
Je m'approcha de la fenêtre et poussa délicatement le rideaux qui me laisser avoir une vue sur l'extérieur, il y avait des gens qui riait à en perdre haleine, je les regarder s'amuser ils étaient beaux, mais à cet instant je n'avais que faire de la beauté du monde. Je sentez de nouveaux la chaleur des larmes me prendre les yeux avant qu'elles ne se laisse glisser sur mes joues.

Je lâcha délicatement le rideaux en regardant la chambre un bref instant, sur un meuble était poser un vieux poste à musique, la musique, peut être aller elle me soutenir? Ou peut être pas.
Je m'approcha du poste et tourna le bouton, le volume était si fort que mes oreille me brûler mais je n'en avais plus rien à faire, je voulez ressentir quelque chose, peut importe que se soit de la douleur physique du moment que je sentez un peu de vie en moi, cet chanson, cet chanson n'était aps faite pour m'aider bien au contraire, Who Can It Be Now de Men At Work, je soupira et laissa la musique guider mes émotions, près du lit se trouver un petit frigo fermer, il ne me fallut que peu de temps à l'ouvrir, à l'intérieur se trouver deux bouteille de champagne Dom Pérignon, j'ouvris la première bouteille et en bus le contenue sens en déguster le liquide, j'avais beau tenir la vodka sens état autre pour le vin et le champagne, la musique, l'alcool, le chagrin...je danser seule au milieu de la petite chambre en pleurant de plus belle.

''Who can it be now'' Chantais-je en pleurant toujours à chaude larmes ''Ohhhh! Ohhh''

Je sentez ma voix se casser t'en je pousser la chansonnette à son paroxysme.
Mais je ne ressentez rien, plus rien.

''Bordel'' Dis-je en m'effondrant au sol

Je ne contrôlais plus rien, j'étouffais mes cries de douleurs le plus possible, puis je pensa à la fin, peut être est-ce que je devrais en finir, après tout c'était la suite logique tout comme Roméo et Juliette, sans lui rien ne me pousser à vivre, j'avais toujours eux plus ou moins cette idée malsaine de mettre moi même fin à mes jours, j'avais déjà essayer, plusieurs fois avec de la drogue, mes overdoses n'était pas toutes des erreurs, bien au contraire j'étais toujours très consciente de ce que je faisait, puis il y avait eu cette fois dans la forêt.

''Arrête de penser pauvre crétine et passe plutôt au acte'' Me dis-je à moi même en me levant

J'étais un poids lourd, presque un poids mort pour moi même, je me dirigea vers la petite kitchenette accoudé à la chambre, des couteaux était bien évidemment poser sur le maître couteau, ils sembler n'attendre que moi, moi la folle qui n'attendez plus rien de la vie, on a ce genre d'amour qu'une fois dans une vie, pas deux, je l'avais connue maintenant je pouvez mourir, riche, triste et seule, sa ferais un bon scénario de film américain.
Je pris le premier couteau que je voyais et regarda la lame étincelante, les couteaux était vraiment de toute beauté, je parti m'asseoir sur un fauteuil en regardant le couteau, y avait il un moyen de faire? Peut être qu'un suicide devait se préparer un minimum? Peut être fallait il planter le couteau d'une certaine façon? Peut être...et merde.
Je laissa le couteau glisser le long de mes jambes avant de tomber dans un bruit métallique au sol, je soupira, ce n'était pas une façon digne pour moi de mettre fin à mes jours.
Je plongea ma main dans ma poche de jeans, il y avait cette photo, il souriez, moi aussi, on était heureux, tellement heureux et maintenant qu'est ce qu'il en était?
Je déposa la photo sur la commode en face de moi et replongea ma main dans ma deuxième poches, je savais que je trouverez dedans un petit pochon remplis de poudre blanche, je sorti le petit sachet et le regarda, de la cocaïne, celle que j'avais trouver dans l'avion, je m'étais forcer de ne pas la prendre, mais les vieilles habitude on la vie dur, j'avais déjà fait des overdoses et je savais très bien qu'avec tout le contenue du sachet en sachant que je n'avais pas toucher à la drogue depuis longtemps, le contenue me tuerais dans les minutes qui suivrez, c'était une mort digne d'une toxicomane pas vrai?
Je pris la photo de notre arrivée sur l'île afin de tracer une longue ligne et la regarda avant de regarder le visage de Berlin.

''Qu'est ce que tu veux, on vivait tous les deux dans une bulle maintenant la bulle à exploser...'' Lui dis-je comme si il était en face de moi

Je pris une grande inspiration, fit mon signe de croix avant d'approcher mon nez de la ligne, je sentis ce produit glisser dans ma narine,  mais une envie soudaine de vomir me pris, je me leva et courut jusqu'au toilette aussi vite que je le pouvez et réussis à y arriver à temps.
Je laissa sortir le liquide qui me brûler la gorge et me redressa en me regardant dans le miroir suspendu juste au dessus des toilettes, une sensation étrange me parcourue le long du corps, qu'est ce qui m'arriver bordel? Je pris un chiffon et m'essuya le coin des lèvres avant de sortir de la salle de bain d'un pas frêle, je ne me sentais pas très bien a vrai dire je ne me sentais pas du tout bien, je regarda la ligne blanche à peine entamer et soupira avant de m'allonger à nouveau, je pris le temps de réfléchir quelques instant au conséquence de mes actes, à vrai dire, oui j'étais seule, mais ma mort causerais de la peine au Prof, peut-être devrais-je attendre quelques jours?

...
Bonjour, Bonsoir mes petits Dalí 🔫
On a passer les 11K!!!! Vous êtes trop mimi merci beaucoup beaucoup 🤪😘 vous êtes justes une communauté géniale!!!! Et je ne parle même pas de vos commentaires 🥺💜 qui sont juste géniale
La grosse bise 😘

Le casse du siècle [Part 1]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant