Dans son regard

Chapitre 41 : T'as signé ?

1er Septembre 2016
16H
Bari, Italie

Marine : Tiens je t'ai tout ramener. T'as juste à signer là et là, elle me montre les feuilles et je les signe.

Luna : Et voilà, tient, je lui donne et elle les récupère.

Marine : Et ben bienvenue définitivement chez Manège en sucre Mademoiselle Malet.

Luna : Merci à vous Madame Lloris. On se sert la main en rigolant.

Comme vous avez dû le comprendre je suis actuellement en Italie, à quelques heures du coup d'envoi d'Italie-France où Antoine et Hugo ont bien évidement été sélectionné (en vrai Hugo était blessé donc n'était pas au rassemblement mais pour l'histoire c'était plus simple de faire comme s'il était là). Je suis arrivée hier en fin d'après midi où j'en ai profité pour aller visiter un peu la ville et je repars demain en fin de matinée.

Marine : Tient, j'ai aussi ramené quelques dessin de robe qui me paraisse pas mal mais je trouve qu'il manque un peu d'originalité non ? Je la regarde surprise.

Luna : Tu me fais confiance à ce point pour que je te donne mon avis sur TES créations ?

Marine : Evidement ! Sinon je t'aurais pas demandé de travailler avec moi !

Luna : Bon alors je te dis ce que je pense mais si ça te plait pas dit moi hein !

Marine : T'inquiète, c'est toi la designeuse, pas moi. Je souris.

Luna : Je suis d'accord avec toi sur le fait que c'est un peu simple, par contre j'aime bien le haut, après le bas il faudrait un peu le redessiner.

Marine : Ça te dérangerait te prendre ce model et de le renvoyer avec tes modifs ?

Luna : Non ! Au contraire, c'est mon travail !

22H20

Le matche s'est terminé il y a quelques minutes avec un magnifique 3-0 pour nous. Bon malheureusement Antoine n'a pas marqué et est sortie mais comme il dit le principale c'est la victoire, peu importe la manière.

Tous les jours viennent voir leur familles après qu'ils aient remercié les supporteurs.

Luna : Bravo bébé !

Antoine : Il fallait qu'on gagne après le Portugal même s'il n'y avait pas d'enjeux. Il l'a encore en travers de la gorge ce putain de match et je le comprends.

Luna : Je suis fière de toi ! Je l'embrasse amoureusement et je sans quelqu'un me frapper la tête ce qui fait qu'on se cogne la tête avec Antoine.

En me retournant je vois Paul. Ça m'aurait étonné aussi.

Luna : T'es con, je me suis fait mal !

Antoine : Putain Paul ! J'ai plus de nez là !

Paul : T'as pas besoin de ça pour jouer. Il le regarde en rigolant.

Luna : Sinon bonjour non ?

Paul : Buonasera, plutôt.

Luna : S'cuse moi monsieur l'Italien, je lui fais la bise.

Antoine : Elle sait même pas parler espagnol alors qu'elle vit là-bas donc l'italien laisse tomber frère !

Ils se tchèquent et rigolent tous les deux.

Luna : Ça va je vous dérange pas là ? Ils continuent de rire. Non mais je rêve.

Paul part ensuite rejoindre ses frères qui sont venus le voir.