OS149: Le bloquage (partie 2)

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Cette petite histoire est la suite de OS48: Le bloquage (partie 1), je vous conseil donc fortement de lire la partie précédente avant de commencer celle-ci.

Harold guida Astrid jusqu'à leur lit et la fit asseoir sur le bord de ce dernier avant de s'accroupir devant elle. Il posa ses mains sur ses genoux tout en lui adressant un sourire rassurant.

-Voilà. Ne bouges pas, je reviens.

Et sur ces mots, il se releva et partit dans la cuisine chercher une cruche qu'il remplit d'eau fraîche. Il remonta en haut et rejoignit sa femme qui l'attendait toujours, assise sur le bord du lit et l'air nerveuse. Après s'être armé d'un morceau de chiffon au tissu doux, il retourna auprès d'elle et s'assaya à ses côtés. Lentement et délicatement, il commença à nettoyer le visage couvert de sueur et de sang de sa femme qui se laissa faire sans broncher.

-Tu veux parler de quelque chose ? lui demanda-t-il gentiment.

-Je... J'ai vu des cerfs lors de mon entrainement. souffla-t-elle en regardant ses mains liées et posées sur ses genoux.

-Ha oui ? Ils étaient nombreux ?

-Ils étaient cinq ou six, il y avait un petit.

Et elle se tut à nouveau tandis que son mari continuait de laver doucement son visage avec le chiffon et l'eau froide.

-Ça fait du bien. murmura-t-elle lorsqu'il descendit le tissu le long de sa nuque.

Il le pressa pour faire couler un peu d'eau sur la gorge de sa femme et elle soupira de plaisir en sentant les gouttes fraîches glisser sur sa peau brûlante.

-Je peux t'enlever ton gilet ? lui demanda-t-il.

Elle déglutina avec difficulté avant d'approuver d'un signe de tête. Harold lui retira le vêtement avec douceur puis passa le chiffon sur ses bras. Elle avait beau être encore bien couverte, la jeune femme sentait le stress monter en elle.

-Détends toi. murmura le brun.

Il souffla sur son oreille et elle sursauta tant ce geste inattendu était doux et plaisant. Harold poursuivit sa délicate tâche mais bien vite il se retrouva bloqué par le chemisier de son épouse.

-Je peux ?

De la tête, elle fit un petit geste d'approbation. Harold commença donc à déboutonner le haut de sa femme pour lui retira tout en douceur. Elle restera nerveusement ses bras autour de sa poitrine qui était pourtant encore caché par des bandes en tissus. Lorsque le tissu embibé d'eau frolla la peau de son ventre, Astrid sursauta.

-C'est froid. souffla-t-elle.

-Ça va t'apaiser.

Il souffla sur sa peau et elle laissa à nouveau un soupir lui échapper. Harold analysait chacun de ses gestes et était satisfait de voir qu'il arrivait à lui procurer du plaisir, aussi infime fut-il. Après après frotter son dos, son ventre et ses bras, il lui demanda si il pouvait défaire les liens qui serraient ses seins et elle mit un long moment avant d'accepter.

-Attends ! s'écria-t-elle en lui retenant le poignet.

Il leva les yeux vers elle.

-Lai...laisse moi faire.

Harold retira sa main et détourna les yeux pour mettre sa femme plus à l'aise tandis qu'elle débarasser sa poitrine de ses entrailles. Elle se raidit entièrement lorsque les yeux d'Harold se posèrent sur ses deux globes de chair.

-N'es pas peur. murmura-t-il en posant sa main sur sa joue.

Elle ferma puis rouvrit les yeux pour se calmer. Doucement et très délicatement, Harold prit un des deux ses seins de sa femme en coupe avant de commencer à le frotter avec le chiffon. Il insista un peu plus sur son mamelon qui était dressé par le froid puis s'occupa du deuxième sein. Tout le long de l'opération, elle resta tendue, incapable de se détendre. C'est alors que le brun souffla sur chacun de ses mamelons. Il releva la tête et embrassa tendrement sa femme. Elle lui rendit son baiser et le laissa faire lorsqu'il déposa un bisou dans sa nuque. Il suça doucement la tendre peau de sa gorge et mordilla son épaule tandis qu'elle fermait les yeux pour mieux gérer son stresse. Lentement, Harold descendit jusqu'à arriver à la poitrine de la blonde. Là, il déposa plusieurs baisers sur ses seins, au bout de quelques secondes il prit son mamelon gauche en bouche et commença à le sucer délicatement. Astrid poussa un petit cri de surprise en sentant les dents de son époux égratigner la pointe de son sein mais se laissa faire. À vrai dire, c'était plutôt plaisant. Elle rejeta la tête en arrière en poussant un petit cri de plaisir ce qui fit sourire son mari.

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