Chapitre 6

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(Alvaro)

Lucia est dans la salle de bain, et je suis comme un con devant la télé, à zapper sur des chaînes, alors que je ne parle même pas italien.

C'est très vite chiant.

J'entends l'eau de la douche couler, et je me mords la lèvre. Une très belle femme est nue juste dans la pièce d'à côté, en train de se savonner la peau.

Putain... Rien que d'y penser, je commence à l'avoir dure. C'est terrible de penser à la sœur de son pote comme ça.

Pourtant, je ne peux pas faire autrement. Elle a un truc en plus cette nana!

Je me lève pour récupérer mon portable. Je dois tout faire pour penser à autre chose. Seulement, en passant devant la porte de la salle de bain, je suis pris d'une pulsion. Je m'arrête, et très doucement, je pose ma main sur la poignée.

Non!

Alvaro!

Ca se fait pas!

Tu peux arrêter tout de suite... Mais c'est mort !

J'actionne la poignée lentement, sans faire de bruit, et j'entrouvre la porte de quelques centimètres, au moins juste assez pour voir la douche.

Elle est de profil, en train de faire mousser ses cheveux, laissant le jet d'eau lui fouetter la poitrine... Je regarde cette dernière, et cette fois, c'en est fini de moi.

Sa poitrine... Des seins d'une bonne taille, bien ronds, avec des tétons roses qui pointent sous l'effet de l'eau.

Je bande vraiment cette fois.

Quand je la vois prendre du gel douche, je me dis que le spectacle est loin d'être terminé. Elle commence par se frotter les bras, remontant vers les épaules... Elle continue vers le cou, mais très vite, elle en vient aux seins. Mon cœur rate un battement. Elle se lave, mais en plus, elle s'amuse toute seule, à se pincer doucement les tétons.

Les femmes font vraiment ça sous la douche quand elles sont seules?

Bordel ! Je ne tiens pas. J'ouvre ma braguette, et avec habileté, je fais sortir ma queue de mon pantalon. Je me caresse aussi, sans la lâcher des yeux.

Elle descend petit à petit sur son ventre, en décrivant des cercles.

Puis les hanches...

Elle descend encore...

Je retiens un grognement de plaisir quand elle s'applique à bien nettoyer chaque pli de son sexe dépourvu du moindre poil.

Je me surprends à vouloir le goûter, de passer ma langue entre ses lèvres, afin de trouver son bourgeon et de le suçoter. J'ai envie de l'entendre gémir, de la sentir se cambrer sous mes assauts.

Et je la vois faire. Juste à cet instant précis, elle passe lentement son majeur entre ses lèvres, pour se masser un peu le clitoris. Elle penche la tête en arrière pour soupirer de plaisir.

Ma queue spasme. Je n'ai rien vu d'aussi beau chez une femme.

Quand elle continue de se laver, je me dis que ça suffit.

J'en ai déjà trop vu.

Je referme doucement la porte, toujours sans un bruit, et je vais attraper quelques mouchoirs. Je me caresse assez énergiquement, et très vite, je jouis dans les mouchoirs.

Am : Hummmpff...!

Je m'essuie et... je me rends compte que la poubelle est dans la salle de bain. Merde. Tant pis. Je range ça dans ma poche comme un gros dégueulasse et je range ma queue dans mon pantalon.

Florence - Tome 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant