Chapitre 39

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(Lucia)

Je danse avec Alvaro ! Et pas n'importe quoi en plus ! Il me fait faire un collé serré !! Autant je suis sur mes gardes parce que j'ai pas envie que les autres captent ce qu'il se passe entre nous, et surtout mon frère, mais en même temps, je suis vraiment excitée ! Déjà parce qu'il a prit ma main, et que ca m'a fait des guilis dans le creux au point que ca en a répercuté dans mes seins, mais en plus, il frotte sa braguette contre mon cul en ce moment même ! C'est chaud. Trop chaud ! Et ses mains sur mes hanches là... Je suis censée faire quoi ? Je me lâche complètement ? J'ai pas assez bu pour ça !! Remarque, c'est peut-être pas plus mal, parce que sinon, je serais déjà en train de lui rouler une grosse pelle.

J'ose me frotter un peu à lui quand même. Seulement voilà, la chanson se termine déjà. Je me retire. Il est tout rouge. J'ai envie de rire.

L : Merci pour cette danse...

Am : On peut encore danser !

L : Sur du reggae là ? Non non. Faut pas abuser !

Je lui souris, et je me mords la lèvre.

Am :Tu... Veux venir m'aider pour récupérer tes affaires dans le coffre ?

Oh putain ! OUI !

L : On y va !!!

Il rit légèrement devant mon entrain.

Je vais enfiler une veste.

P : Tu vas où ??

L : Y'a Alvaro qui a mes affaires dans son coffre !

P : Quelles affaires ?

L : Celle de Florence ! Quand j'ai éparpillé mes fringues dans vos valises !

P : Ah ! Dépêche toi ! J'en ai marre de ranger !

L : Mais ca fait que cinq minutes !

P : Ca fait déjà cinq minutes !!

Il me blase.

Alvaro nous rejoint.

Am : J'ai mes clés !

P : Magnez vous !

Am : Mais oui !

L : Continue de ranger hein ? Je crois que j'ai vu une tache dans ton atelier !

P : QUOI ?? QUI EST ALLE DANS MON ATELIER ???

Je profite de la diversion pour ouvrir la porte d'entrée, et sortir avec Alvaro.

Am :Bien joué !

L : T'as vu ?? Il se doute de rien en plus cet...

Alvaro me plaque contre le mur du couloir pour m'embrasser.

L : Hummm...

Je passe ma main dans ses cheveux, et j'approfondie le baiser qui devient langoureux. Il vient passer sa jambes entre les miennes et il m'appuie sur le sexe.

L : Humpff... Putain... Pas ici !

Je lui prends la main, et je nous fais marcher rapidement vers les escaliers. On descend, et on se retrouve vers les caves.

Am : T'as pas trouvé plus glauque ?

L : Plus glauque que les chiottes d'un bar à bière à Florence ?

Am : Hum !!

Je lui déboutonne son veston, puis sa chemise. J'ai envie de voir son torse. Et quand je vois sa peau, je pose mes lèvres dessus.

Florence - Tome 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant