Florence - Tome 1

Chapitre 14

(Alvaro)

J'ai été perdu pendant quelques minutes. Elle m'a engueulé, mais elle veut que je reste. Et puis maintenant, elle fait tout pour m'exciter un peu plus. Au début, j'ai cru qu'elle été en plein délire, surement à cause de son cauchemar, puis qu'elle recherchait juste un peu de réconfort. Et qu'en revanche, elle ne connaissait rien à comment un homme pouvait fonctionner ! Mais j'ai vite compris, qu'en fait, elle faisait semblant. Parce que là, elle prend ma queue, et enfonce mon gland dans sa chatte trempée. Elle me veut. C'est sûr. Rien que cette idée me rend fou...

Je resserre mes doigts sur sa hanche, et sans la prévenir, je m'enfonce lentement mais avec puissance en elle, jusqu'au bout.

L : Hummpff !

Je viens lui mordre l'épaule sans bouger. Mais c'est elle qui se tortille d'impatience.

L : Putain Alvaro... T'arrête pas...

Am : Hummm...

Je me retire lentement, et lui redonne un coup de bassin puissant. Elle gémit mon nom. Ce son est merveilleux pour mes oreilles et mon coeur a l'impression de flotter de bonheur.

Je lui retire son t-shirt, et j'en profite pour rallumer la lumière. Je la préviens, qu'elle ne se brule pas la rétine.

Am: Ferme les yeux...

Je veux la voir prendre du plaisir !

Je l'enlace dans mes bras, passant l'un sous son corps bouillant, pour venir agripper son sein, et l'autre, maintient fermement sa hanche. Je me retire encore doucement, et cette fois, c'est elle qui vient s'empaler sur moi en se cambrant et en se reculant.

Am : Hummm!

Je lui pince un téton. Elle couine.

Je lui mordille l'épaule, elle gémit.

Elle est tellement réactive à ce que je lui fais subir. C'est mon plus grand plaisir.

Je la bascule sur le lit, qu'elle se mette sur le ventre, et je m'assois sur elle. Je masse ses fesses, et les écarte un peu en posant ma queue sur sa raie. Je fais un mouvement de vas et vient et regardant le spectacle. J'ai jamais rien vu d'aussi excitant quoi ! Ce cul est parfait !!

L : Alvaro putain !!

Am : Oui !!

Qu'elle est pressée !

Et autoritaire!

Je dirige ma queue vers son entrée accueillante, et je m'enfonce en elle. J'écarte même ses fesses pour aller plus profond.

Elle gémit contre l'oreiller et je deviens plus sauvage ! Je lui donne des coups rapides et j'ose même lui donner une fessée. Elle crie son plaisir.

A cet instant, il m'en faut beaucoup plus.

Je me retire, et elle se relève. Son regard brille. Elle est sublime!

Sans que je ne la vois venir, elle s'agrippe à mon cou pour m'embrasser J'ai l'impression d'être dans un monde parallèle, où seul le plaisir règne.

C'est notre premier baiser.

Doux et langoureux.

Il me fait complètement plané.

Quel idiot! Pour je ne l'ai pas embrassé plus tôt? C'est pourtant la première chose à faire?

J'imagine que la situation ne s'y est pas prêté, que la tension sexuelle entre nous a été beaucoup trop intense et que les préliminaires sont tous passé à la trappe.

Elle m'allonge sur le dos, et me chevauche. Elle contrôle la situation. Elle s'empale sur moi, jusqu'au bout et y reste. Elle fait des mouvements de rotation et je retiens mon souffle. Surtout, ne pas jouir !

Je pose mes mains sur ses hanches, la soulève un peu pour que je puisse commencer à lui donner des coups de rein rapides.

Elle se cambre un peu en arrière, gorge déployée, pendant que ses seins ballotent de haut en bas.

Je ralentis le rythme, mais elle me regarde sévèrement.

L : T'arrête pas !!

Am : Hummm non !!!

Je prends ses fesses, et les écartes. Je recommence un va et vient encore plus intense, en osant aller lui masser l'anus avec mon majeur. Elle se penche en avant pour m'embrasser, ou plutôt couiner contre mes lèvres. Elle mouille tellement que j'en ai partout sur le pubis. C'est un truc de dingue. Lentement, j'appuie sur son anus, et ma première phalange rentre sans problème.

L : OOoh...! Je vais... Je vais jouir !!

Am : HUMmMmppff !!! Vas y !!!

J'accélère encore plus, alors que je ne m'en pensais pas capable, et je la sens se resserrer autour de moi.

L : AAAAAaHUUUUUuuummmmm !!!

Am : BORDEL !!

Je me retiens pas, je jouis en même temps qu'elle.

Elle s'écroule sur moi, pour reprendre son souffle, alors je lui caresse le dos.

Ses lèvres embrassent mon torse et sa main me caresse.

L'éternel câlin d'après sexe. C'est agréable.

Je redresse la tête pour lui embrasser le front.
Mes idées commencent à se remettre en place, et je réalise...

Putain...

J'ai couché avec la sœur de mon meilleur pote...