Chapitre 12

75 4 0
                                    


(Alvaro)

J'ai eu le souffle coupé quand elle s'est mise à bouger dans mes bras et à coller son cul contre mon érection. Elle a du penser que je dormais, et heureusement pour moi ! Le malaise sinon !

Depuis environ dix minutes, je suis sûr qu'elle dort, à cause de sa respiration. Et moi, je suis comme un fou. Je veux pouvoir poser ma main sur son sein et le malaxer, je veux pouvoir retirer mon boxer et passer ma queue sur ses fesses, et ensuite seulement, je la pénètrerai. J'ai besoin de me calmer, mais je sais que c'est impossible. Depuis que je l'ai rencontré, elle m'excite au plus haut point, sans chercher à le faire. Elle a un pouvoir sur moi, je n'ai jamais connu ça auparavant. Elle me fait perdre la tête. Je suis pourtant quelqu'un de respectable ! Alors je ne sais pas si c'est le fait d'être dans un pays étranger, dans une chambre d'hôtel, d'être seul avec plus ou moins une inconnue, ou même la situation, mais j'ai ce besoin urgent de me soulager. Je ne peux pas faire autrement.

Je laisse passer encore quelques minutes, et lentement, je remonte ma main sur son sein. Elle ne bouge pas, elle respire de la même façon. Elle dort encore. Intéressant. Je remue encore un peu ma main, et je presse son sein doucement. Je soupire de bien être. Dommage qu'il y ait ce tissu qui nous sépare...

De ma main libre, je viens replacer ma queue dans mon boxer. Au cas où, pour pas qu'elle me surprenne, je bloque mon gland hors du tissu, grâce à l'élastique. Lui au moins, pourra respirer librement !

Je me recale bien contre ses fesses, et même mieux encore. J'arrive à sentir la dentelle sur ma peau. Ca me donne un spasme dans la queue. C'est tout simplement divin.

Le seul problème, c'est que maintenant, j'ai envie de plus.

Je donne un léger coup de bassin, et j'arrive à trouver le sillon de son cul. Putain... Je pourrais mourir comme ça que je m'en foutrais.

J'ose me rapprocher un peu plus, et cette fois, ma queue est complètement plaquée contre sa raie.

Il faut y aller doucement Alvaro. Surtout, ne pas la réveiller. Sinon tu serais vraiment dans la merde. Parce qu'il est clair qu'elle s'intéresse pas plus que ça à toi, et qu'elle a autre chose en tête que de tirer un coup !

Quand je suis toujours certain qu'elle dort, je commence un léger va et vient contre elle au rythme de ma respiration.

Je me mords la lèvre pour ne pas gémir de plaisir. Je sens mon liquide pré séminal s'étaler sur mon gland et sur sa culotte. La sensation m'électrise

Je continue mon petit va et vient et elle ne se réveille pas. Elle est tellement épuisée, qu'elle dort déjà profondément. C'est ma chance !

J'en profite donc pour baisser complètement mon boxer. J'empoigne ma queue, et je la fais caresser ses fesses. Et encore une fois, elle ne bouge pas d'un poil. Je lâche ma queue, et je pose ma main sur ses fesses doucement. Je les caresse un peu, et je passe la première phalange de mon index sous le tissu. Je caresse sa peau. Elle est si douce... Je tire un peu sur le tissu, et je glisse ma queue en dessous, en prenant soin de poser mon gland contre sa raie. Je lâche le tissu, qui se plaque contre ma queue si tendue, qu'elle en est douloureuse.

Je ne bouge plus et guette sa respiration. Mais toujours rien d'inchangé. Je me mords la lèvre d'excitation. Je peux faire ce que je veux putain. Ca m'excite encore plus. J'écarte un peu sa fesse, et mon gland s'y blotti un peu plus. Et je recommence mon va et vient, tout doucement.

Am : Humpff...

Calme toi Alvaro. Tu vas pas lui jouir dessus quand même !

Je ralentis la cadence pour faire durer le plaisir. Et d'un coup, elle bouge sa jambe. Je me fige!

Ma queue ressort presque de sa culotte d'elle même, seul mon gland s'y cache encore. Je regarde si elle dort, et c'est bien le cas. En revanche, elle serre complètement mon bras contre sa poitrine que je sens gonflée, ainsi que son téton durci sous son t-shirt. Et je me dis... Si son téton montre des signes d'excitation, alors...!

Je reprends ma queue en main, et je fais glisser mon gland le long du tissu vers son vagin, auquel j'ai maintenant libre accès. Je vais pas la pénétrer non plus. Je ne suis pas aussi dingue ! Mais juste...

Am : Baaav

J'ai pu glisser entre ses lèvres, et elle est trempée. C'est énorme !! Mais putain, qu'est-ce que j'ai envie d'elle !! Il me faut tous les efforts du monde pour ne pas m'immiscer en elle.

Je m'appuie sur mon coude, afin de me redresser un peu, et dans cet angle, je peux enfoncer ma queue plus loin, jusqu'à frotter son clitoris durci. Bordel de merde. Je sens que je vais jouir. Je sens que...

Florence - Tome 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant