Chapitre 95

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(Pedro)

Elle est chatouilleuse dans le cou. Je trouve ça tellement adorable !

J'ai une femme magnifique, et bien plus jeune que moi sur mon lit, et elle me veut. Pas parce que je suis célèbre, mais parce qu'elle m'aime vraiment bien.

C'est probablement une erreur ce qu'on va faire, mais ça fait déjà quelques minutes que mon cerveau est déconnecté.

Je pose mes lèvres sur les siennes, tout en posant ma main sur sa hanche. Je la remonte doucement, soulevant son haut au passage. Je commence à apercevoir le tissu noir de son soutien gorge. Mais elle ne m'arrête pas. Alors je continue sur ma lancée et elle va même jusqu'à se soulever, pour que je lui retire entièrement son haut.

Elle veut vraiment qu'on aille plus loin.

Bon d'accord. Jusque là, j'ai déjà vu son corps. Pour le tournage de la Casa de Papel. Je jouait Berlin, et elle Ariadna. Berlin était à la fois tendre et mais aussi brusque. Mais moi... Je joue tout sur la tendresse. Parce que je suis comme ça.

Je me recule pour l'observer. Elle a les joues roses, les lèvres entrouvertes, les yeux brillants.

Magnifique...

Je pose ma main au dessus de ses seins, et du bout des doigts, je les fais passer entre. Elle respire fort.

Je me penche, et je retrace le passage de mes doigts, mais cette fois ci, avec mes lèvres. Elle soupire de bien être.

Ca fait combien de temps que je n'ai pas été avec une femme ? Un an ? Peut-être plus même... Et en ayant des sentiments ? Encore plus...

Je tire sur le bonnet de son soutien gorge, et je prends son sein dans ma main. Je le presse, le caresse, et avec mon pouce, je titille son téton que je sens durcir petit à petit.

De mes lèvres, je descends sur son ventre plat, musclé mais pas trop, et je sors la pointe de ma langue pour aller jusqu'à son nombril.

Sa peau sent la noix de coco. C'est incroyable à quel point elle sent si bon.

Mais j'ai envie d'aller plus loin. Je lève les yeux sur elle, et je crois qu'elle comprend mon intention. De ma main libre, je dégrafe le bouton de son jean. Elle retient sa respiration, et je perçois même ses pupilles se dilater par le désir.

Je descends son jean, jusqu'à lui retirer avant de le pousser pour qu'il tombe par terre.

Elle porte un shorty noire, qui contraste avec sa peau blanche.

Merveilleux...

Je passe ma main sous sa cuisse si douce, et je soulève sa jambe, juste assez pour que je puisse poser mes lèvres à l'intérieur de sa cuisse.

C : Pedro...

Elle gémit mon nom...

Je souris contre sa peau, et je frissonne en entendant cela.

Mes baisers se rapprochent dangereusement de sa culotte, mais je m'arrête au dernier moment. J'ai envie qu'elle me supplie. J'ai envie d'entendre mon prénom encore une fois.

Je passe sur son autre cuisse, reproduisant le même chemin. Et je m'arrête au dernier moment, une fois de plus.

C : Pedrooo...

Elle commence à se tortiller. De là où je suis, je peux même sentir son excitation.

Allez... J'attrape le bord de sa culotte de chaque côté, et je tire sur le tissu pour le lui retirer d'un coup sec!

Florence - Tome 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant