- 49 - T.III

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— FLOWERS AND CIGARETTES WILL ALWAYS SMELL LIKE YOU —

Jeongin était assit sur le canapé de son salon, la tête entre les mains

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Jeongin était assit sur le canapé de son salon, la tête entre les mains. Ses yeux étaient écarquillés, et des larmes roulaient contre ses joues opalines. Son corps tremblait, et ses doigts tiraient ses cheveux comme si ça allait l'aider à faire passer la vague d'angoisse en lui.

Sa respiration était bruyante. Plus le temps passait, plus Yang Jeongin sombrait dans un tourbillon de noir. Il se battait contre des démons ancien et qui devrait déjà être mort. Il se battait contre des paroles qui ne devrait jamais être dîtes, il se battait contre des fantômes d'un passé très lointain, et personne ne le savait.

Hyunjin et sa vie amoureuse, Felix et ses problèmes de partout, Jisung et ses soucis de confiance, Minho et ses brun-out, Seungmin et sa douceur bien trop belle pour être tacher, Changbin et sa fiancée aussi drôle que magnifique, Chan et sa vie parfaite, trop parfaite pour que Jeongin en face partit.

"- Comment j'ai pu mettre au monde un fils pareil ? Tu n'arriveras à rien Jeongin."
"- Personne ne voudra de toi, t'es obligé de rester à nos côtés pour vivre. Qui t'accepterait ? Tu es si stupide et bon à rien. Ton visage n'est même pas joli."
"- Un câlin ? Tu veux un câlin mon fils ? Je peux savoir ce que tu as fait pour le mérité ? Tu ne mérites pas l'amour que je te donne chaque jour Jeongin."

Des flashback, des voix dans sa tête qui tournaient et le rendait fou, des voix, des rires aussi, des paroles odieuses. Il se revoyait, enfant, caché sous sa couette, faisant semblant de dormir. Il voyait encore la porte de sa chambre s'entrouvrirent, laissant un léger rayon de lumière passer. Il ressentait les yeux de son père sur lui, et il revoyait presque cette main caresser ses cheveux. Cette main qui ne lui apportait rien de ce qui est l'amour parental.

Oh, Monsieur Yang était malsain. Le père de Yang Jeongin lui avait fait vivre l'enfer, avant même qu'il ne puisse commencer à connaître la vie.

Jeongin se leva avec rage et donnant un grand coup dans tout ses cours, qui tombèrent et s'envolèrent autours de lui. Il prit son skate sur le côté, le paquet de cigarette caché dans la poche internes de sa veste, et sortit, claquant la porte sans la fermer à clefs. Il descendit par les escaliers et sortit de l'immeuble, le visage plein de larme.

Il se lança sur sa planche dans la rue, les larmes coulant sans plus de retenue, sans jamais s'arrêter, malgré son regard vide.

Son enfance avait été la pire de toutes. Sa mère était partit sans lui, ne faisant que lui envoyer pas mal d'argent pour Noël, et son père l'avait maltraiter, longtemps. Il l'enfermait dans sa chambre, le privait de manger, ne lui donnait aucun signe d'amour. Il le frappait quand il faisait quelques choses de mal ou qu'il ramenait une note trop insuffisante à ses yeux.

Le père de Jeongin était un homme violent, qui fumait, se droguait, et buvait. Il avait porté la main sur un enfant bien trop souvent.

Jeongin avait été mit à la porte à treize ans. Il s'était retrouvé tout seul, complétement seul. Pendant deux nuits, il avait dormit sur un banc, sans avoir d'ami chez qui loger. Et dès que ses deux frères de coeur, Chan et Minho, l'avait apprit, ils étaient partis de chez eux.

Pink Sweater; skzOù les histoires vivent. Découvrez maintenant