XXXVIII. "Sorry for not telling you"

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[Chapitre tardif because les cours 😣 + petite note en bas de page, prenez le temps de lire 🙏🏽]

Adrien

Je saluais mes coéquipiers et rabattit ma capuche avant de sortir du vestiaire

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Je saluais mes coéquipiers et rabattit ma capuche avant de sortir du vestiaire. Automatiquement, je déverrouillais mon téléphone, espérant avoir des nouvelles de Rose. La brune avait raté notre rendez-vous et je n'avais pas réussis à la contacter depuis deux semaines. Autrement dit, la ligne rouge était largement dépassée. On avait établi une seule et unique règle : un appel par semaine. Parce que je tenais à savoir si elle allait bien. Deux semaines de silence m'inquiétaient beaucoup trop.

Je pénétrais dans l'immeuble et la porte s'ouvrit avant que je ne touche la poigné.

Rabiot ? il fronça ses sourcils.

Salut Antoine, je souris.

Il se décala pour que j'entre dans le studio et je tchéquais tous les gars présents. Mes yeux se posèrent sur Mekra, derrière le micro. Il sortit de la cabine pour me saluer.

Qu'est-ce que tu fais là ? il me demanda en souriant.

Je cherche Rose.

Pourquoi elle serait ici ? releva Ken.

Pourquoi pas ? j'haussais un sourcil en direction du rappeur.

Il évita mon regard en comprenant que je savais ce qu'il avait fait. Les autres m'interrogèrent silencieusement mais je les ignorais.

Aucun de vous ne l'a vu ? je m'enquis. Durant deux semaines ? j'insistais.

Elle est passée me fournir y a deux semaines mais c'est tout, répondit Doums.

Ok, merci quand même.

Je fis volte face, prêt à quitter les lieux, mais la voix de Mekra m'arrêta.

Elle a des problèmes ?

J'espère pas, je soupirais avant de quitter les lieux.

Dans l'ascenseur, je tentais une nouvelle fois d'appeler ma meilleure amie qui semblait avoir disparu de la circulation. Mais je tombais encore sur sa messagerie et je me retins d'éclater le portable sur le sol. Lorsque les portes s'ouvrirent, je tombais sur le brun.

Qu'est-ce que tu fais ? je demandais surpris.

Je viens avec toi.

Mauvaise idée.

C'était pas une question, il ricana.

Il passa devant moi et attendit devant ma voiture. Je levais les yeux au ciel mais le laissais monter avec moi.

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