LVIII. « Scotch is for irreparable things. »

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[Je dois vous avouer que quand j'ai relu le chapitre (parce que j'avais oublié de quoi ça parlait 😂) j'avais envie de sauter parce que c'est clairement mon chapitre préféré ! Alors bonne lecture les gars et on se retrouve en bas]


Rose

J'adore tes nouveaux cheveux.

Je souris à mon meilleur ami.

Merci.

Ca te change.

J'avais décidé de couper mes longs cheveux, et j'avais opté pour un carré.

Tu fais quoi ? m'interrogea le bouclé.

Avachis sur la canapé, il m'observait traverser le salon, mes chaussures à la main.

Je sors.

Faire quoi ? il se redressa.

Bah prendre l'air, boire un verre. Vivre ?

Je lui souris avant d'enfiler ma paire d'escarpins rouges.

T'es pas un peu trop canon là ? il ricana. Tu veux que je t'accompagne ?

Rabiot, je soupirais. Je dois te rappeler que j'ai passer cinq ans dans une cellule ?

Et ? il haussa un sourcil.

Et j'ai pas baisé depuis cinq ans, je raillais. Alors tu vas me laisser sortir toute seule et je vais me trouver un mec parce que j'ai besoin d'un rapport physique, je ris.

Il éclata de rire, et j'en profitais pour mettre ma veste.

Je suis là pour ça tu sais bébé, il me fit un sourire en coin.

J'attrapais un coussin et le lui lançais alors qu'il poussa un cri peu viril.

Arrêtes de dire des conneries bouclettes, je soufflais avant d'embrasser sa joue.

Appelle moi si t'as besoin qu'on vienne te chercher !

Je lui fis un signe de la main avant de quitter définitivement son appartement pour une bonne partie de la nuit.

Je lui fis un signe de la main avant de quitter définitivement son appartement pour une bonne partie de la nuit

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Je hélais un taxi sur le trottoir et il me salua poliment avant de redémarrer.

Je vous dépose où mademoiselle ?

Au club 809, s'il vous plait.

Il acquiesça et en une vingtaine de minutes, j'étais dans la file pour entrer dans la boîte de nuit. Je saluais le videur qui sembla surpris de me voir. Il me laissa entrer rapidement et sans attendre, je fendis la foule pour me rendre au bar. Je m'y accoudais, et attendit que le barman vienne jusqu'à moi.

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