Partie 167

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Partie 167:

Point de vue Clémentine

J'ai l'impression que le ciel me tombe sur la tête, que tout s'écroule autour de moi. Ma meilleure amie depuis plus de 30 ans m'a trahit. C'est dur à accepter.

Maxime, fidèle à lui-même, fait preuve d'une attention extraordinaire envers moi et mes tracas. Une fois de plus, c'est lui qui sèche mes larmes alors que j'ai été si naïve.

À sa place, je me détesterais et ne voudrais certainement plus m'épouser! Après tout, veut-il toujours que je devienne sa femme? Je comprendrais qu'il ait changé d'avis.

Clémentine: Maxime?
Maxime, caressant ses cheveux: Oui?
Clémentine: Tu veux toujours m'épouser?
Maxime, souriant: C'est quoi cette question?
Clémentine: Je sais pas... Je comprendrais que tu ne veuilles plus m'épouser après tout ça.
Maxime: Bien-sûr que je veux toujours t'épouser! C'est à moi que j'en veux. Je n'ai pas su te protéger. C'est toi qui pourrait ne plus vouloir de moi.
Clémentine: Ne dis pas de sottises! Bien-sûr que moi aussi je veux toujours t'épouser, plus que jamais!

Sans que je n'ai le temps de m'en rendre compte, Maxime plaque ses lèvres contre les miennes. C'est si bon de se rappeler à quel point j'aime quand ses lèvres se collent aux miennes. Elles sont si douces...

Ses lèvres descendent ensuite dans mon cou pour y déposer une marque violacée comme pour témoigner de leur passage.

Doucement, Maxime passent ses mains sous mon pull. Son contact contre ma peau fait frissonner l'ensemble de mon corps.

Mon pull finit au sol alors que les bretelles de mon soutien-gorge glissent le long de mes bras.

À mon tour, je m'occupe du sweat que Maxime porte et le jette au sol. Il fait beaucoup trop chaud, ici, de toute façon.

Je pourrais rester des heures à contempler son torse musclé. Mon souffle se fait de plus en plus fort alors que l'excitation entre nos deux corps montent crescendo.

D'une main, je défait la ceinture de Maxime alors que ce dernier fait tomber mon pantalon de grossesse.

Après s'être occupés des derniers bouts de tissus qui recouvraient nos corps passionnés, Maxime me fait tomber sur le canapé.

Il se met à califourchon au-dessus de moi et met court à l'impatience qui habitaient nos deux corps.

Wahou! Nous sommes comme en symbiose. Plus rien n'existe autour de nous, ce moment est comme suspendu dans le temps. C'est si bon.

Le bonheur des disputes, c'est bien-sûr les réconciliations sur l'oreiller...

Souvenir Éternel A Clemax StoryOù les histoires vivent. Découvrez maintenant